Alors tu la range là, ta carte photocopie...?

Publié le par V.

 Salut! Putaing comment que j'ai trop dessiner cette semaine, j'ai fais fumer le poignet et craquer les doigts! Vla donc, je post quelques uns des trucs que j'ai produit cette semaine. (J'ai changé de style de dessin, et mes strips sont plus long, dîtes-moi ce que vous en pensez, hein?)






Une double page avec des expressions de visage.



Et une petite aquarelle



Voila, see ya!



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A
sympa le dernier truc en aquarelle ! ( les autres aussi sont cool ;) )
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J
J'aime toujours autant :]<br /> Ton strip est super, tout comme ton aquarelle
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K
Euh...<br /> <br /> Le commentaire de Taickyto est disons... FABULEUX ! BATARD !<br /> <br /> D'avoir des gens aussi constructifs >< Pas donné à tout le monde !
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K
Le dernier strip vaut vachement le coup que tu l'ai fini !<br /> <br /> Chapeau pour tout le reste ! Je sur-KIFFE !<br /> <br /> "What's the Dollio" pour la musique d'hier soir (artiste ? ché plus ^^')<br /> <br /> Encore bravo, à lundi
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T
J'aime beaucoup le coté un peu absurde d'un genre nouveau qui va donner un coté un peu décalé au genre mais qui toutefois va; on le sent si on examine avec circonspection la planche non pas comme une histoire entière, mais comme une suite de réponses à l'envie métaphysique de céder à ses pulsions un-resgenesa; qui va, et bien, nous placer dans l'observation d'un phénomène humain tout à fait normal, qui est la présence à la foi de logique, et de non-logique au sein même de l'être de chair lui même, cette double présence paradoxale qui a de particulière qu'elle est a-médiative va s'intérioriser et se matérialiser en une pensée, en un objet bien précis (comme va d'ailleurs nous l'apprendre le 3 ème courant de spinoza) qui au final, on le voit de par la présence de cadres qui va permettre de contenir le flot bouillonnant des couleurs du croquis pour enfin donner un ordre à la non-pensée qui s'effectue dans l'esprit du dessinateur, on le voit d'autant que de l'apparente non-logique du strip en lui même, on voit l'analogie qui est faite entre un problême bénin (le froid) que l'on va assimiler à un problême d'ordre social beaucoup plus dramatique, et on voit aussi une étude psycho-analytique de la réaction humaine face au désarroi (dans le premier strip) :<br /> -Dans un premier temps, l'humain va chercher une protection dans sa propre présence, dans son surmoi (analogie du vêtement, élément social par excellence, qui est assimilé au point qu'il devient part de l'être) et va avoir une tendance à l'additivité de ses malheurs (les périodes...sont les plus tristres, en plus...) <br /> -L'être va alors tenter de s'approprier une part du social et rejeter les rapports sociaux, c'est a dire qu'il va se protéger à l'aide d'un feu, feu qui dans son fondement est le point de ralliement de l'homme primitif comme moderne, qui va se rassembler autour du feu (phénomène du feu de camp); ce point de ralliement, l'être va s'approprier sa protection tout en refusant l'accession de l'autre à ce dernier, c'est une période de refus qui va s'accompagner d'une feinte auto-suffisance.<br /> -De plus, on va voir par la suite que le personnage va se trouver pris au piège du système, en se soutenant à l'aide d'une barre de métro, qui va représenter le système sensé le protéger, il va se retrouvé prisonnier, emprisonné dans le système.<br /> -Enfin, on va voir que le personnage va accepter sa situation et va se placer dans l'expéctative d'une condition future meilleure, alors qu'il s'est protégé d'une valeur sociale supplémentaire (l'écharpe, symbole d'étranglement mais aussi de protection)<br /> Dans le strip suivant, bien que moins profond psychologiquement, permet une interprétation assez fournie elle aussi. Dans un premier temps, on va voir que l'auteur va prôner un immobilisme et un nombrillisme exacerbé (toutes ses actions se font dans une position assise, mis à part le repos, lui seul va être représenté, puis on va voir que le personnage va parfois se remettre en question, s'activer à la recherche de quelque chose (analogie avec la métaphysique, la question de la contingence humaine notamment) mais que, semble-t-il, ce quelque chose est impossible à atteindre dans le fouillis inextriquable des pensées humaines, alors se pose la question de l'infériorité de l'être face à la masse, face aux possibles, aux peut-êtres, aux hasards, cette remise en question va mener à la conclusion qu'on ne peut trouver ce que l'on cherche, il est uniquement possible de comprendre ce que l'on trouve.<br /> <br /> Il y a tout un sens caché à ces strips, c'est du grand art mon cher.
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